Ainsi donc sur une chaîne de notre républqiue qui l'est de moins en moins, le folliculaire, sans aucun recul vis à vis des personnes qu'il interroge, il est d'autres exemples connus de l'auteur de ces lignes, sème le vent du communautarisme sur les ondes de la radio nationale.
Ce jeudi 7 octobre 2010, voici qu'une autre folliculaire saintongeaise (sic), Maryse Guedeau, est l'heureuse élue du susdit. Et de faire la promotion de la langue saintongeaise, reconnue comme composante de la langue française; pour reprendre l'expression de notre girondine du jour, on pourrait écrire: "A chacun son territoire" (sic).
Extrait de la page d'accueil du site
Poitevin-Saintongeais, le mot est lâché, ce fameux trait d’union qui fâche, qu’o fait même rage asteur, commente le magazine. Un problème mal compris car mal expliqué.
Ce qui se passe aujourd’hui, c'est que le patois charentais, baptisé "Parler savoureux de Saintonge"--- par le grammairien Raymond Doussinet, n’a plus le droit de s’exprimer. Quiconque veut le défendre est immédiatement renvoyé dans sa chaumière. Il a été décrété qu’il n’existait plus. Adieu la langue de Goulebenéze, balayée par une langue de France qui elle, par contre, a pignon sur rue, ce fameux Poitevin-Saintongeais, invention d’universitaires pour les besoins de la création de la région Poitou-Charentes (tous Poitevins au demeurant). Une langue de France donc, qui ne recouvre strictement rien et dans laquelle les Saintongeais, pas plus que les Poitevins ne se reconnaissent. Aucune œuvre littéraire dans cet idiome à part un dictionnaire et une grammaire, et pour cause ! On ne peut ni le lire ni du coup le prononcer, et pour comble, on ne voit pas sur quel vocabulaire il s'appuie et encore moins où se trouve l’esprit sous-jacent qui caractérise si bien le parler saintongeais !(...)
Nous invitons également nos lecteurs à s'accrocher sur leur siège préféré et à auditer la saintongeaise qui veut a tout prix lutter contre l'américanisation (re sic) mais omet, avec Philippe Bertrand, de se rappeler qu'elle vit en France. Pauvre folliculaire!
Sélectionner émission du 7 octobre 2010. A écouter à partir de 7:30 minutes.