9 juin 2009
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Voltaire République a écrit à plusieurs reprises bien avant les élections américaines mais également après, qu'une fois élu, quel que soit le candidat de Barack Obama ou Hillary Clinton, il ou elle serait avant tout maître du monde. Il n'aura pas fallu un trimestre pour que les États-Unis empêtrés dans leurs diverses guerres, en Afghanistan, en Irak, ne fassent interventions tous azimuts pour se concilier les bonnes grâces du monde arabe et notamment des émirats et de l'Arabie saoudite que tout le monde connaît pour leur grande ouverture à la démocratie aux droits de l'homme et des femmes !
Que le président des États-Unis d'Amérique tienne un discours communautarisme sur son territoire, rien d'étonnant et nous nous étonnons que certains s'étonnent encore ; après tout nous sommes dans une logique des descendants du Mayflower. Même si nous sommes pas d'accord avec cette vision des sociétés du monde, le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, des peuples démocratiques, nous amène à la fois à respecter leur choix, à mettre l'accent sur nos désaccords, et à combattre toute ingérence sur ce qui fait notre ciment national.
Les différents voyages de Barack Obama de ce mois de juin 2009, entre Arabie saoudite, Égypte et France marquait la ligne rouge franchit par le chef de l'empire lequel s'ingère dans notre politique nationale. Il a pour ce faire un sérieux bras droit en la personne du président de l'arépublique.
Nous ne nous éterniserons pas en analyse pour dire que son soutien au port du voile, à la remise en place de la religiosité dans les affaires du monde, à ce propos le chanoine de Latran n'est pas en reste, d'autres sites dédiés en ont souligné l'essentiel.
Nous disons simplement:
Monsieur le président des États-Unis fermez la !
Mêlez-vous de vos affaires avant de vous mêler des affaires internes des pays démocratiques ;
Mêlez-vous de vos affaires ! à commencer par vos affaires internes.
Vous avez été élu par un peuple qui porte ses espoirs en vous pour résoudre les problèmes de la crise et de la pauvreté aux États-Unis d'Amérique. Votre pays est démuni de tout système de protection sociale pour les pauvres car il faut être riche pour être en bonne santé chez vous. Votre pays traverse une crise autrement plus importante que celle de 1929.
Si vous lisiez cet article ce que vous ne ferez sans doute jamais, mais peu nous importe, vous nous diriez à juste raison :
"Mêlez-vous de vos affaires ! "
Voyez comme il est facile de regarder la paille dans les yeux des autres et de ne pas s'extraire de la poutre du séquoia de vos contrées.
À bon entendeur salut !
Des citoyens de la République française laïque et universelle.
Ecrasons l'infâme
Voltaire République
Que le président des États-Unis d'Amérique tienne un discours communautarisme sur son territoire, rien d'étonnant et nous nous étonnons que certains s'étonnent encore ; après tout nous sommes dans une logique des descendants du Mayflower. Même si nous sommes pas d'accord avec cette vision des sociétés du monde, le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, des peuples démocratiques, nous amène à la fois à respecter leur choix, à mettre l'accent sur nos désaccords, et à combattre toute ingérence sur ce qui fait notre ciment national.
Les différents voyages de Barack Obama de ce mois de juin 2009, entre Arabie saoudite, Égypte et France marquait la ligne rouge franchit par le chef de l'empire lequel s'ingère dans notre politique nationale. Il a pour ce faire un sérieux bras droit en la personne du président de l'arépublique.
Nous ne nous éterniserons pas en analyse pour dire que son soutien au port du voile, à la remise en place de la religiosité dans les affaires du monde, à ce propos le chanoine de Latran n'est pas en reste, d'autres sites dédiés en ont souligné l'essentiel.
Nous disons simplement:
Monsieur le président des États-Unis fermez la !
Mêlez-vous de vos affaires avant de vous mêler des affaires internes des pays démocratiques ;
Mêlez-vous de vos affaires ! à commencer par vos affaires internes.
Vous avez été élu par un peuple qui porte ses espoirs en vous pour résoudre les problèmes de la crise et de la pauvreté aux États-Unis d'Amérique. Votre pays est démuni de tout système de protection sociale pour les pauvres car il faut être riche pour être en bonne santé chez vous. Votre pays traverse une crise autrement plus importante que celle de 1929.
Si vous lisiez cet article ce que vous ne ferez sans doute jamais, mais peu nous importe, vous nous diriez à juste raison :
"Mêlez-vous de vos affaires ! "
Voyez comme il est facile de regarder la paille dans les yeux des autres et de ne pas s'extraire de la poutre du séquoia de vos contrées.
À bon entendeur salut !
Des citoyens de la République française laïque et universelle.
Ecrasons l'infâme
Voltaire République