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Colloque Franco-allemand de Lyon

Le 7 octobre 2011, s'est tenu à l'IEP de Lyon, un colloque franco-allemand sur le thème:

 

Visions comparées de l'euro

 

Les videos de ce colloque sont disponibles sur

 


www.cercledu29mai2005.eu

 

 

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Eclats Républicains

Si vous le souhaitez, vous pouvez recevoir le livre "Eclats Républicains" de Simon Archipenko, Président de Voltaire République. Le  livre est paru en septembre 2007. La réception est gratuite. Si vous souhaitez contribuer à l'effort envoyez un don au siège de l'Association . Voltaire République - 73, cours Richard Vitton 69003 LYON. Pour recevoir le livre envoyez un courriel à: voltaire.republique@laposte.net

Présentation

Citoyen !

VOLTAIRE REPUBLIQUE  est un mouvement qui veut défendre et promouvoir les idées républicaines issues du siècle des Lumières et dont l’un des principaux penseurs fût Voltaire. En qualité de mouvement laïque et républicain, l’association se fait un devoir de répandre sa pensée dans toutes les sphères de la vie politique, économique et sociale de la France et dans une Europe débarrassée de son idéologie libérale dont les citoyens français ont rejeté les bases lors du scrutin du 29 mai 2005. L’association ne s’interdit aucune action et aucun prosélytisme dans le monde.

VOLTAIRE REPUBLIQUE  est fondée par des républicains engagés dans la vie de la Cité, venus d’horizons divers, patriotes qui veulent pour la France une république digne de son histoire et de celle qu’ils veulent léguer aux générations futures.
Article II des statuts de l’association   
VOLTAIRE REPUBLIQUE  est une association où, seul le nom de Citoyen compte. Elle rejette toute idée de communautarisme, sous quelque forme que ce soit.
Tous les adhérents, sans distinction y sont honorés pour leur travail voué au bien public, et tourné vers la République.
Voltaire république ne se revendique pas en parti politique; elle est politique. A ce titre ses adhérents sont libres d’appartenir ou de ne pas appartenir à un parti . Aussi, elle accueille en son sein les citoyens venus de tous horizons démocratiques et républicains, sans exclusive d’appartenance.
L’association n’importe pas en son sein les clivages et les pratiques qui y sont attachés. Le citoyen qui n’accepte pas ces principes fondateurs de Voltaire République et des Jeunes Voltairiens n’ont pas leur place au sein de l’association.
Voltaire République est engagée dans la vie de la Cité.  Elle invite les citoyens à en être les acteurs dans les associations, les organisations syndicales étudiantes, de salariés, patronales, artisanales et familiales.
Voltaire République et les Jeunes Voltairiens sont organisés dans leur ville, leur département, leur facultés, leurs entreprises et, sur le plan national.

Salut et fraternité

Voltaire République et les Jeunes Voltairiens


Nous contacter :
voltaire.republique@laposte.net

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30 octobre 2010 6 30 /10 /octobre /2010 12:38


Voici la liste des députés qui ont voté POUR la "réforme des retraites".

Citoyens, en 2012, souvenez-vous en!

M. Jean-Pierre Abelin, M. Élie Aboud, M. Manuel Aeschlimann, M. Yves Albarello, M. Alfred Almont, Mme Nicole Ameline, M. Jean-Paul Anciaux, Mme Edwige Antier, M. Jean Auclair, Mme Martine Aurillac, M. Pierre-Christophe Baguet, M. Patrick Balkany, M. Jean Bardet, Mme Brigitte Barèges, Mme Sylvia Bassot, M. Patrick Beaudouin, M. Jean-Claude Beaulieu, M. Jacques Alain Bénisti, M. Thierry Benoit, M. Jean-Louis Bernard, M. Xavier Bertrand, M. Jean-Yves Besselat, M. Gabriel Biancheri, M. Jérôme Bignon, M. Jean-Marie Binetruy, M. Claude Birraux, M. Christian Blanc, M. Etienne Blanc, M. Emile Blessig, M. Roland Blum, M. Claude Bodin, M. Philippe Boennec, M. Marcel Bonnot, M. Jean-Yves Bony, M. Jean-Claude Bouchet, M. Gilles Bourdouleix, M. Bruno Bourg-Broc, Mme Chantal Bourragué, M. Loïc Bouvard, M. Michel Bouvard, Mme Valérie Boyer, Mme Françoise Branget, M. Xavier Breton, Mme Françoise Briand, M. Philippe Briand, M. Bernard Brochand, Mme Chantal Brunel, M. Michel Buillard, M. Yves Bur, M. Dominique Caillaud, M. Patrice Calméjane, M. François Calvet, M. Bernard Carayon, M. Olivier Carré, M. Gilles Carrez, Mme Joëlle Ceccaldi-Raynaud, M. Yves Censi, M. Hervé de Charette, M. Jérôme Chartier, M. Gérard Cherpion, M. Jean-François Chossy, M. Jean-Louis Christ, M. Dino Cinieri, M. Eric Ciotti, M. Pascal Clément, M. Philippe Cochet, M. Georges Colombier, Mme Geneviève Colot, M. Jean-François Copé, M. François Cornut-Gentille, M. Louis Cosyns, M. René Couanau, M. Charles de Courson, M. Edouard Courtial, M. Alain Cousin, M. Jean-Yves Cousin, M. Jean-Michel Couve, Mme Marie-Christine Dalloz, M. Olivier Dassault, M. Bernard Debré, M. Jean-Pierre Decool, M. Bernard Deflesselles, M. Lucien Degauchy, M. Rémi Delatte, M. Richard Dell’Agnola, Mme Sophie Delong, M. Stéphane Demilly, M. Yves Deniaud, M. Bernard Depierre, M. Vincent Descoeur, M. Nicolas Dhuicq, M. Eric Diard, M. Michel Diefenbacher, M. Jean Dionis du Séjour, M. Jacques Domergue, M. Jean-Pierre Door, M. Dominique Dord, M. David Douillet, Mme Marianne Dubois, Mme Cécile Dumoulin, M. Jean-Pierre Dupont, M. Raymond Durand, M. Gilles d’ Ettore, M. Daniel Fasquelle, M. Yannick Favennec, M. Alain Ferry, M. Daniel Fidelin, M. André Flajolet, M. Jean-Claude Flory, M. Philippe Folliot, M. Nicolas Forissier, Mme Marie-Louise Fort, M. Jean-Michel Fourgous, M. Marc Francina, M. Pierre Frogier, M. Yves Fromion, Mme Cécile Gallez, M. Sauveur Gandolfi-Scheit, M. Jean-Paul Garraud, M. Claude Gatignol, M. Gérard Gaudron, M. Jean-Jacques Gaultier, M. Hervé Gaymard, M. Guy Geoffroy, M. Bernard Gérard, M. Alain Gest, M. Franck Gilard, M. Georges Ginesta, M. Charles-Ange Ginesy, M. Jean-Pierre Giran, M. Louis Giscard d’Estaing, M. Claude Goasguen, M. François-Michel Gonnot, M. Didier Gonzales, M. Jean-Pierre Gorges, M. Philippe Gosselin, M. Philippe Goujon, M. Michel Grall, Mme Claude Greff, M. Jean Grenet, Mme Anne Grommerch, M. François Grosdidier, M. Jacques Grosperrin, Mme Arlette Grosskost, M. Serge Grouard, M. Louis Guédon, Mme Françoise Guégot, M. Jean-Claude Guibal, M. Jean-Jacques Guillet, M. Christophe Guilloteau, M. Gérard Hamel, M. Michel Havard, M. Michel Heinrich, M. Laurent Hénart, M. Michel Herbillon, M. Antoine Herth, M. Francis Hillmeyer, Mme Françoise Hostalier, M. Philippe Houillon, M. Jacques Houssin, M. Guénhaël Huet, M. Michel Hunault, M. Sébastien Huyghe, Mme Jacqueline Irles, M. Christian Jacob, M. Denis Jacquat, M. Olivier Jardé, M. Paul Jeanneteau, M. Yves Jego, Mme Maryse Joissains-Masini, M. Marc Joulaud, M. Alain Joyandet, M. Didier Julia, M. Christian Kert, M. Jacques Kossowski, M. Patrick Labaune, Mme Fabienne Labrette-Ménager, M. Yvan Lachaud, M. Marc Laffineur, M. Jean-Christophe Lagarde, M. Jacques Lamblin, Mme Marguerite Lamour, M. Jean-François Lamour, M. Pierre Lang, Mme Laure de La Raudière, M. Pierre Lasbordes, M. Charles de La Verpillière, M. Thierry Lazaro, M. Robert Lecou, M. Jean-Marc Lefranc, M. Guy Lefrand, M. Marc Le Fur, M. Michel Lejeune, M. Dominique Le Mèner, M. Jacques Le Nay, M. Jean-Claude Lenoir, M. Jean-Louis Léonard, M. Jean Leonetti, M. Pierre Lequiller, M. Maurice Leroy, M. Claude Leteurtre, M. Céleste Lett, Mme Geneviève Levy, M. Michel Lezeau, M. François Loos, M. Gérard Lorgeoux, Mme Gabrielle Louis-Carabin, M. Lionnel Luca, M. Daniel Mach, M. Guy Malherbe, M. Richard Mallié, M. Jean-François Mancel, M. Alain Marc, M. Jean-Pierre Marcon, Mme Christine Marin, M. Hervé Mariton, Mme Muriel Marland-Militello, M. Franck Marlin, M. Philippe-Armand Martin, Mme Henriette Martinez, M. Patrice Martin-Lalande, M. Alain Marty, M. Jean-Claude Mathis, M. Jean-Philippe Maurer, M. Pierre Méhaignerie, M. Christian Ménard, M. Gérard Menuel, M. Damien Meslot, M. Philippe Meunier, M. Jean-Claude Mignon, M. Pierre Morange, M. Pierre Morel-A-L’Huissier, M. Philippe Morenvillier, M. Jean-Marie Morisset, M. Georges Mothron, M. Etienne Mourrut, M. Alain Moyne-Bressand, M. Renaud Muselier, M. Jacques Myard, M. Jean-Marc Nesme, M. Jean-Pierre Nicolas, M. Yves Nicolin, M. Patrick Ollier, Mme Françoise de Panafieu, M. Bertrand Pancher, M. Yanick Paternotte, M. Christian Patria, Mme Béatrice Pavy, M. Jacques Pélissard, M. Dominique Perben, M. Nicolas Perruchot, M. Bernard Perrut, M. Etienne Pinte, M. Michel Piron, M. Henri Plagnol, M. Serge Poignant, Mme Bérengère Poletti, M. Axel Poniatowski, Mme Josette Pons, M. Daniel Poulou, M. Jean-Luc Préel, Mme Sophie Primas, M. Christophe Priou, M. Jean Proriol, M. Didier Quentin, M. Michel Raison, M. Eric Raoult, M. Frédéric Reiss, M. Jean-Luc Reitzer, M. Jacques Remiller, M. Bernard Reynès, M. Franck Reynier, M. Arnaud Richard, M. Franck Riester, M. Jean Roatta, M. Didier Robert, M. Arnaud Robinet, M. Camille de Rocca Serra, M. François Rochebloine, Mme Marie-Josée Roig, M. Jean-Marie Rolland, Mme Valérie Rosso-Debord, M. Jean-Marc Roubaud, M. Max Roustan, M. Martial Saddier, M. Francis Saint-Léger, M. Rudy Salles, Mme Françoise de Salvador, M. Bruno Sandras, M. André Santini, M. François Sauvadet, M. François Scellier, M. André Schneider, M. Jean-Pierre Schosteck, M. Jean-Marie Sermier, M. Georges Siffredi, M. Fernand Siré, M.Jean-Pierre Soisson, M. Michel Sordi, M. Daniel Spagnou, M. Eric Straumann, M. Alain Suguenot, Mme Michèle Tabarot, M. Lionel Tardy, M. Jean-Charles Taugourdeau, M. Guy Teissier, M. Michel Terrot, M. Jean-Claude Thomas, M. Dominique Tian, M. Jean Tiberi, M. Alfred Trassy-Paillogues, M. Marc Vampa, M. Yves Vandewalle, M. Christian Vanneste, M. François Vannson, Mme Isabelle Vasseur, Mme Catherine Vautrin, M. Francis Vercamer, M. Patrice Verchère, M. Jean-Sébastien Vialatte, M. René-Paul Victoria, M. Philippe Vigier, M. Philippe Vitel, M. Gérard Voisin, M. Michel Voisin, M. Jean-Luc Warsmann, M. Gaël Yanno, Mme Marie-Jo Zimmermann, M. Michel Zumkeller, M. Jean-Michel Ferrand, M. Thierry Mariani, qui étaient présents au moment du scrutin ou qui avaient délégué leur droit de vote ont fait savoir qu’ils avaient voulu voter « pour ».

Les "un pied dedans, un pied dehors", ont préféré s'abstenir:


M. Marc Bernier (villepiniste),Mme Véronique Besse (MPF), M. Daniel Garrigue (villepiniste), M. François Goulard (villepiniste), M. Jean-Pierre Grand (villepiniste),M. Jacques Le Guen (villepiniste), Mme Marie-Anne Montchamp (villepiniste), M. Dominique Souchet (MPF), M. Jean Ueberschlag (villepiniste), M. François-Xavier Villain (Debout la République), M. André Wojciechowski (radical valoisien).

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 09:12

La représentante du duché d'opérette à la commission européenne, l'une des plus grandes blanchisseries au monde,  le Luxembourg, remet le couvert en critiquant la France et l'Allemagne qui souhaitent modifier le contenu du traité de Lisbonne. Ce traité n'est qu'un infâme chiffon et un ramassis de mots dont le seul but est la fin des Etats-nations. Le peuple français, mais aussi irlandais et dans une moindre mesure tchèque, avait su dès le départ qu'il en serait ainsi; et le peuple de France de voter NON, lors du referendum du 29 mai 2005. Le président de l'arépublique, triture à sa guise ce traité, comme il l'a trituré dans un pronunciamento putschiste de février 2008. Si l'entente franco-allemande devait être suivie d'effet, nous exigeons un referendum.
Ceci étant, Viviane Reding n'est en aucun cas autorisée à insulter un pays souverain, la France. Si un pays quelconque procédait de la sorte, cela créerait un incident diplômatique que seules des excuses officielles seraient susceptibles de calmer. Le seul destin tragique de la duchesse du Luxembourg est de finir au bout de la corde de billets de banque issus du blanchîment dont se gave son duché d'opérette.
Les casseurs (bis)
Nous apprenons au moment d'écrire ces lignes, que lors des incidents violents des casseurs, après les manifestations lycéennes de la mi-octobre, le "policier" (brassard de la police convaincant au bras droit) infiltré dans certains actes de violence, repris par dailymotion et, hélas par nous-mêmes, est en réalité un activiste d'extrême-gauche. L'objectif voulu par le turlupin encagoulé, s'il avait réussi, aurait démontré la complicité objective du pouvoir avec les casseurs.
Malgré cet incident, nous pensons qu'elle existe bel et bien. Il sera nécessaire le moment venu, de poursuivre les investigations. Une commission d'enquête parlementaire serait la bienvenue sur les casseurs, la manipulation du lumpen prolétariat connoté économie souterraine par le pouvoir en place. Nous serions également curieux de savoir les aboutissants des condamnations des casseurs ainsi que le nom des éléments majeurs.
Le préfet de la region Rhône-Alpes l'a dit publiquement le 28 octobre: des policiers sont infiltrés dans les manifestations. Certains découvrent ce fait comme une poule découvre un couteau. Cette pratique, si elle est condamnable, existe depuis que les manifestations existent.
Il n'en demeure pas moins que l'individu une fois démasqué, c'est le mouvement social qui se voit offrir un rocher blanc dans son jardin; acte dont il se passerait volontiers.
Qui insulte la France?

Molex.
On pourrait épiloguer de longs moments sur l'attitude de cette entreprise et de ses dirigeants américains qui ne sont que des voyous mafieux. Mais si la France avait un pouvoir politique digne de ce nom, un président de la République et un ministre de l'industrie courageux, c'est à dire ne se contentant pas de jouer les petits télégraphistes du libéralisme, Molex serait sur le champs et par décret nationalisé sans indemnités pour les actionnaires américains. En lieu et place, le ministre Estrosi chicotte à la télévision. Lamentable.
Qui insulte la France?
Football.
Un coup de chapeau à Michel Platini qui fut non seulement un grand joueur de football mais est un excellent dirigeant d el'UEFA. A propos des états généraux du football qui s'ouvrent sous l'égide de la ministre Roselyne Bachelot, il déclare:
"Les joueurs de l'équipe de France devraient plus apprendre à descendre rapidement d'un car que de s'asseoir autour d'une table ronde!".
Fermez le ban!
Face à l'insulte de la France par des joueurs repus par les délices de Knysna, Michel Platini a su les mots qu'il fallait.

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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 10:24

Les droits sociaux englobent des droits de type classique (droit de grève et liberté syndicale), mais également des droits à prestations de la part de la collectivité, dits droits-créances (droit d'obtenir un emploi, droit à la santé, à la sécurité matérielle, au repos et aux loisirs, droit à l'instruction, à la formation professionnelle et à la culture, droit à l'égalité et à la solidarité devant les charges qui résultent des calamités naturelles, droit de l'individu et de la famille à bénéficier des conditions nécessaires à leur développement) et des droits-participations (participation des travailleurs à la détermination collective des conditions de travail ainsi qu'à la gestion des entreprises). Ils sont reconnus par le Préambule de 1946 en tant que “principes sociaux particulièrement nécessaires à notre temps” et complétés dans ce même texte par des principes politiques et économiques également considérés comme tels (droit d'asile, égalité des femmes et des hommes, nationalisation des services publics nationaux et des monopoles de fait). Les droits - créances bénéficient également aux étrangers dont la résidence en France est stable et régulière.


Site du Conseil constitutionnel

"Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs."

Article 35 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1793

A part cela, il y  des élections à venir, et les mêmes qui glosent sur les mouvements sociaux, solliciteront le suffrage de ceux qu'ils condament aujourd'hui.

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24 octobre 2010 7 24 /10 /octobre /2010 10:51

Nos fidèles lecteurs (et les autres) peuvent se précipiter et diffuser ce chef d'oeuvre.

 

http://www.dailymotion.com/video/xerxcd_retraites-jean-pierre-brard-gdr_news

 

Il s'agit d'une intervention du député Jean-Pierre Brard.

Faites circuler!


 

A marquer dans les discours de la République

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 08:21

Dans le "Manifeste du Capital", Marx définissait le lumpen prolétariat:

 

"Le lumpen prolétariat, interprété à tort comme étant le sous prolétariat. Il s’agit en fait du « prolétariat en haillons », qui parcourait les chemins et se louait, n’hésitant pas à casser une grève. C’est une main d’œuvre de remplacement utilisée par le patronat, sans conscience civique, sociale et politique. Il sert de « garde chiourme », d’indicateur de police ou patronal, de « mouchard » et plus particulièrement lors de mouvements sociaux. Le lumpen prolétariat n’a pas d’attaches et peut vivre de rapines, de la prostitution des femmes, d’expédients et d’une économie souterraine et quand sa position ou les conditions dans lesquelles il évolue le permettent, de sa domination sur des malheureux. Il exploite les autres, à l’image de la société dans laquelle il vit. Une vraie cour des miracles. Homme de peu de scrupules, utilisable pour de basses besognes, par le patronat, la police, la maffia, toujours disponible au service des pouvoirs en place, contre le milieu dont il est issu, le prolétariat. Détrousseur de pauvres et briseur de grèves. Le lumpen prolétariat vote à droite, pour ses maîtres ou pour le plus offrant."

 

Nous nous reconnaissons dans cette définition. Nous-nous devons de la réactualiser à l'aune des événements d'octobre 2010.

Tout d'abord, nous ne retirons rien à notre analyse du précédent article sur les manifestations des lycéens.

C'est la raison pour laquelle nous allons également condamner et combattre la racaille dont le seul objectif est de rétablir SON état de non-droit. Et nous soulignons que dans ces événements, elle est soutenue par des organisations gauchistes et anarchistes, portant ainsi le bâton qui leur fracassera la tête un jour.

 

"Depuis (à cause de ?grâce à ?) Cronstadt, ce courant de pensée politique se refuse à un antécédent, à une mémoire politique, par purisme idéologique a marqué ses limites et arrive à son terme. Les élèves descendants tchékistes en chapeau feutre et ventre repu ont pour pratique de laisser en ruine les champs de batailles investis après les avoir occupés par des stratégies de putschs successifs dans les organisations syndicales, associatives, stratégie de nid de coucou, pour s’investir dans d’autres combats. Ceux-ci seront désertés à leur tour, parce que les opprimés de circonstances ne sont plus « dignes de l’intérêt révolutionnaire » qu’ils leurs octroient du haut de leur certitude révolutionnaire, appliquant ainsi sans faille la théorie du peuple de substitution".(1)

 

Pourquoi réactualiser aujourd'hui? Simplement pour mettre en exergue la réalité de ces casseurs. Participant activement de l'économie souterraine, ils n'ont qu'un but: l'argent. Ce même goût pour l'argent facile d'un certain président de l'arépublique française. Le produit de cette économie souterraine fait de ces "héros romantiques" de l'extrême gauche et des anarchistes, de vrais petits capitalistes en direction de PME de l'argent facile. Leur idéologie rejoint celle du lumpen prolétariat. Elle méprise profondément les mouvements de grève et la république, raison pour laquelle elle s'insère dans les cortèges pour répondre à la demande du pouvoir en place: casser et discréditer les manifestations. Leurs "accompagnateurs" sont donc les complices objectifs du pouvoir. Cela, nous le savions. A ceci près, que le même pouvoir tend, dans ces circonstances, à une volonté de remise en cause des libertés.

 

Nous nous devons de repousser ces invasions barbares et de rester vigilants.

 

(1) "Eclats républicains". Simon Archipenko Ed. Montchalin. Juin 2007. (épuisé).

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19 octobre 2010 2 19 /10 /octobre /2010 08:31

Un jalon historique est marqué dans l'histoire des générations de la République. Aux indignes fils d'Adolf Thiers qui ne rêvent que de toujours fusiller les vrais français, aujourd'hui dans les luttes, nous répondons que notre France, nos voix se multiplient à n'en faire plus qu'une. Celle qui paie toujours vos crimes, vos erreurs en remplissant l'histoire et ses fosses communes.
Pendant ce temps, la marquise de tu vaux pot de balle continue à se goberger et nos "bons" français de Suisse, du Luxembourg, de Belgique, continuent aussi à ne point vouloir rentrer payer leurs impôts en France.

Grève des lycéens, la jeunesse n'est pas un statut social. Elle ne l'est pas, n'en déplaise à la démagogie active de ceux qui applaudissent à tout rompre le cortège des manifestants lycéens. Le faire, c'est entériner le fait que les lycéens sont manipulés et inorganisés, alors qu'au rebours nous pouvons constater la maturité de leurs organisations.
Voltaire République approuve pleinement l'entrée en conflit de ces organisations, tout aussi concernées que leurs ainés par la remise en cause du socle de la République et du programme du Conseil National de la Résistance. A tous ceux qui condamnent le mouvement, sous des prétextes très fallacieux, nous répondons que si un adolescent de 13 ans peut pénalement être condamné à la prison, un lycéen peut tout aussi bien faire ses armes de citoyens en devenir dans un cadre légal et dans la rue. Un jeune de 17 ans aujourd'hui sera également électeur en 2012.
Toute proportion gardée et selon les circonstances historiques que nous connaissons à nos futurs détracteurs, Joseph Bara avait 13 ans losqu'il succomba sous les balles chouannes et Guy Môquet, 17 ans.

Ryan air. La compagnie à bas coups risque de délocaliser ses salaires à Bakou. Et le parlementaire de la République, Jean-Claude Gaudin, lequel vote les lois de la droite depuis toujours puisqu'il est de droite, notamment le nouveau code du travail, pleure ce départ. Jean-Claude Gaudin, maire de Marseille souhaite des salaires irlandais pour les salariés marseillais à l'encontre du parlementaire Gaudin Jean-Claude. La schizophrénie de la droite n'en finit plus d'enfoncer le pays dans la misère. Monsieur Gaudin, occupez-vous donc des conflits sociaux à Marseille! Celui des éboueurs pour commencer. Nous sommes curieux également, de savoir très rapidement si vous êtes complice actif de la publication de l'affiche du patronat marseillais lequel, avec des arguments fallacieux, tente de discréditer le mouvement social des grutiers du port de Marseille. Les grues servent aussi de potences quand bien même elles sont symboliques.

Guillaume Sarkozy. Le frère du candidat parvenu à l'Elysée en 2007, guette comme un vautour la cagnotte des retraîtes.   Avec la réforme des retraites qu'il souhaite faire adopter à tout prix grâce à son frère. La réforme "va conduire à l'asphyxie financière des grands régimes par répartition" et sera donc "propice à l'éclosion de ces grands fonds de pension qui n'étaient pas encore parvenus à s'acclimater en France, à quelques rares exceptions près", nous explique  Médiapart. Le Président de l'arépublique assèchera donc la retraite par répartition au profit d'un mode de capitalisation. Au profit de son frère.
Comme quoi le concept "petit frère des riches" risque d'avoir de beaux jours devant lui, si nous n'y mettons pas un coup de frein fatal à ce système UMPS mortifère.




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11 octobre 2010 1 11 /10 /octobre /2010 09:25

Invité le 4 octobre 2010 sur Europe 1, Jean-Luc Mélenchon, dans une saillie dont il est coutumier, déclare qu'il est pour la suppression du nucléaire en France et dans le monde. Pour complaire aux yeux de la Chimène verte, que ne ferait-il donc pas!

Si cette turlupinade peut prêter à sourire, il s'agit en réalité d'une vision mortifère pour notre pays. En ce sens, Jean-Luc Mélenchon que par ailleurs il nous arrive de féliciter (cf. la position sur les retraites), en la circonstance montre qu'il n'a aucune vision de l'avenir, qualité essentielle pour un vrai homme d'État.

Mais revenons-en au fond du sujet; le nucléaire.

Le Grenelle de l'environnement, s'il a montré que l'écologie politique est une vaste farce, a au moins fait surgir aux yeux de tous que l'énergie fossile, charbon, pétrole, gaz, n'avaient pas de sources inépuisables. La question énergétique est donc planétaire, conférence de Kyoto oblige.

L’enjeu pour l’avenir, et ce n’est plus dans une dimension hexagonale, est celui de l’avenir énergétique. Si, comme le dit le sage, nous n’héritons pas de la terre mais nous la devons rendre intacte à nos enfants, si nous voulons que des milliards d’êtres humains sur la planète puissent vivre et non plus survivre, il est essentiel de répondre à l’épuisement des ressources énergétiques fossiles et à la menace du réchauffement climatique, quand bien même nous soulevons nos réserves sur ce dernier.

Les inégalités de consommation énergétique dans le monde correspondent aux inégalités sociales. Si l’on mettait cote à cote deux planisphère, l’un représentant le niveau de vie, l’autre la consommation énergétique, on verrait que les deux cartes se juxtaposent. Un Américain consomme 8 TEP par an, un Africain 0,4 et un Chinois 0,7 (source 2007)

1,5 milliards d’individus n’ont pas accès à électricité, 2,5 milliards n’ont pour seules ressources énergétiques que le bois et des déchets animaux ou agricoles. 4,5 milliards de personnes vivent dans une précarité énergétique.

La croissance de la population mondiale, dans les 50 ans à venir se fera essentiellement dans les pays défavorisés. La demande en énergie en découlera, pour accompagner exponentiation démographique mais aussi pour satisfaire la légitime revendication des peuples à un confort plus décent. Que cela plaise ou non aux verts de gris en France et à Jean Luc Mélenchon, ce processus est inexorable ! En Chine, au Brésil, en Inde, des millions de personnes accèdent à un niveau de vie supérieur (cf. les images de la récente campagne électorale au Brésil) : et il reste tant à faire (cf. Bengla Desh, pays du Sahel). L’accroissement de la consommation énergétique due à une amélioration de l’habitat et un cadre de vie tant dans la consommation que dans l’amélioration des qualités de services rendus aux populations comme la santé par exemple, entraîne une augmentation de la consommation énergétique. C’est ici que l’on voit qu’il ne suffit pas de parader dans des meetings à Porto Alegre en chemise de coton écolo, battant au vent, mais qu’il faut entendre et écouter la voie des inaudibles, les plus faibles.

Nécessité il y a de poursuivre les efforts mondiaux pour économiser l’énergie. C’est un truisme ! Le monde produit aujourd’hui 11,2 milliards de TEP par an. D’ici 20 ans, cette production devra atteindre le double de ce chiffre. Si une vraie politique d’économie d’énergie est menée, ce chiffre, selon l’AIE, peut être rapporté à 15 milliards Mais pareille politique ne concernera que les pays riches. Nous n’allons pas exiger, à commencer par le député français au parlement européen, que 4 milliards d’individus précaires économisent une énergie qu’ils n’ont même pas !

Supposons que dans un optimisme béat façon bisounours, nos pays riches divisent par deux leur consommation. La voie des économies d’énergie, indispensable rappelons le, n’aboutira pas à stabiliser la demande mais simplement à réduire l’ampleur de son augmentation.

Il y a donc nécessité d’augmenter l’offre énergétique. Pour ce faire, il faut prendre en compte l’épuisement des réserves énergétiques fossiles (85% de l’énergie mondiale) et combattre la menace de réchauffement climatique dont sont responsables ces énergies (centrales éclectiques, voitures, chauffage…), par la relâche des gaz à effet de serre. Pour maintenir le réchauffement dans un environnement supportable à l’homme, le monde doit diminuer ses émissions de CO² et donc restreindre fortement le recours aux énergies fossiles.

Pour y parvenir, nous pouvons avoir recours aux énergies renouvelables, énergie hydraulique, solaire, éolienne.

Insuffisant !

3 000 éoliennes sont nécessaires pour produire la même quantité d’électricité qu’une centrale nucléaire de 2 000 mégawatts. Sans compter le caractère aléatoire du fonctionnement des éoliennes ou du rayonnement solaire. La contribution énergétique des énergies renouvelables est estimée à 35% des besoins à l’horizon 2050. En 2030, elle devrait être de l’ordre de 16%. Ces chiffres sont des projections des agences mondiales spécialisées ; on peut mesurer qu’il serait illusoire de considérer les énergies renouvelables comme le sirop Typhon, universelle panacée !

En Europe, de nos jours, le nucléaire est la 1ère source d’électricité. Avec 16% des KWH produits, il représente 6,3% de l’énergie mondiale. La demande mondiale d’électricité est plus marquée que pour l’énergie en général. Le rôle du nucléaire est appelé à rester central. Il a fait ses preuves comme énergie propre et fiable. En se substituant aux combustibles fossiles, il est l’un des moyens essentiels pour lutter contre le réchauffement climatique. Il permet aux pays utilisateurs d’accroître leur indépendance vis-à-vis des marchés internationaux des produits fossiles (pétrole) et de bénéficier d’un coût d’électricité modéré et stable. Si le coût d’une centrale nucléaire nécessite un investissement important, le coût de production de son KWH (démantèlement et traitement des déchets compris) est de 5% à 25% inférieur aux KW/h charbon et gaz. En France, (2008) l’électricité est facturée à 92,10€ (HT) le MG/h contre 143,30€ en Allemagne et 165,80€ en Italie. Pour l’industrie il est de 70,10 euros le MW/h en France et de 101,70€ moyenne européenne. Sans compter le fait que l’industrie nucléaire s’autofinance depuis 30 ans et ne bénéficie d’aucune subvention. Elle acquitte par ailleurs chaque année 2 milliards de taxes locales.

Nous ne pouvons terminer cet article sans évoquer aussi un aspect essentiel du sujet : la place de la France dans le savoir faire de l’industrie nucléaire. A l’heure ou des pans entiers de notre industrie s’affaissent, se délocalisent, notre place de numéro un mondial ne peut qu’être pris en compte dans l’analyse d’une politique visionnaire et celle du positionnement de notre voix dans le concert des nations.

Pour toutes ces raison, la Suède, l’Allemagne ou la Belgique ont rouvert le débat sur ces orientations. En ce sens, les énergies ne doivent pas s’exclurent les unes les autres. Elles doivent se compléter. La promotion du développement durable nécessite une sobriété énergétique, un développement des énergies renouvelables, un développement de l’énergie nucléaire. Un seul de ces triptyques manquant, le système sera inopérant.

Alors que veulent les verts de gris en France ? Avec la mise en place des éoliennes à la norvégienne, ils entraînent la France dans une spirale mortifère. Leur volonté depuis toujours ; Jean-Luc Mélenchon, en ce sens lundi 4 octobre 2010 sur les ondes, s’est montré leur complice objectif.

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7 octobre 2010 4 07 /10 /octobre /2010 13:15

Ainsi donc sur une chaîne de notre républqiue qui l'est de moins en moins, le folliculaire, sans aucun recul vis à vis des personnes qu'il interroge, il est d'autres exemples connus de l'auteur de ces lignes, sème le vent du communautarisme sur les ondes de la radio nationale.


Ce jeudi 7 octobre 2010, voici qu'une autre folliculaire saintongeaise (sic), Maryse Guedeau, est l'heureuse élue du susdit. Et de faire la promotion de la langue saintongeaise, reconnue comme composante de la langue française; pour reprendre l'expression de notre girondine du jour, on pourrait écrire: "A chacun son territoire" (sic).


Extrait de la page d'accueil du site


www.xaintonge.com


Poitevin-Saintongeais, le mot  est lâché, ce fameux trait d’union qui fâche, qu’o fait même rage asteur,  commente le magazine.  Un problème mal compris car mal  expliqué.
Ce qui se passe aujourd’hui, c'est que  le patois charentais, baptisé "Parler  savoureux de Saintonge"--- par le grammairien   Raymond Doussinet,  n’a plus le droit de s’exprimer. Quiconque veut   le défendre est immédiatement renvoyé dans sa chaumière. Il a été  décrété qu’il n’existait plus. Adieu la langue de Goulebenéze, balayée par une  langue de France qui elle,  par contre, a pignon sur rue,  ce fameux  Poitevin-Saintongeais,  invention d’universitaires pour les besoins de la  création de la région Poitou-Charentes  (tous  Poitevins au demeurant). Une langue de France donc, qui ne recouvre  strictement rien et dans laquelle les Saintongeais, pas plus que les Poitevins  ne se reconnaissent. Aucune œuvre  littéraire dans cet idiome  à part un dictionnaire et  une grammaire, et pour cause ! On ne peut ni le lire ni  du coup le prononcer, et pour comble, on ne voit pas sur quel  vocabulaire il s'appuie et encore moins où se trouve l’esprit sous-jacent qui caractérise si bien le parler saintongeais !(...)


Nous invitons également nos lecteurs à s'accrocher sur leur siège préféré et à auditer la saintongeaise qui veut a tout prix lutter contre l'américanisation (re sic) mais omet, avec Philippe Bertrand, de se rappeler qu'elle vit en France. Pauvre folliculaire!


Sélectionner émission du 7 octobre 2010. A écouter à partir de 7:30 minutes.


www.franceinter.com


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6 octobre 2010 3 06 /10 /octobre /2010 10:20

Grèce à vendre;


Les chinois se paient la Grèce, s’offrent sa marine marchande et ses ports. Le pays berceau de la pensée philosophique, de Socrate, Platon et Aristote, avec l'imprimatur de l'union européenne et des tartuffes de Bruxelles, plus commissaires politiques que commissaires, s'enfonce de plus en plus dans la crise. Après la Grèce à qui le tour ?


France ! Arx tarpeia Capitoli proxima !

Jérôme Kerviel.


Certes cet individu est infréquentable et sa profession représente tout ce qui permet, par le jeu des bourses, la mondialisation ultralibérale. Mais ce procès met en avant la complicité et la collaboration objective des magistrats français qui, par le jugement rendu le 5 octobre 2010 à l'encontre de l'ancien trader, masquent les réelles reponsabilités du système en place. Les juges sont dans cette affaire les petits frères des banquiers. Une question reste posée : ont-ils voulu venger les grands frères de l’effroi causé par un individu qui a mis à jour un système totalement dévoyé ?


Pendant ce temps, les causes de la crise financière et bancaire continuent.


Dassault fils.


Le patron du Figaro, profiteur des subventions publiques, donc de nos impôts, veut s'offrir le journal « Le parisien », grâce à une mane "providentielle" de huit cents millions d'euros, somme versée par l'Etat car les avions rafales ne se vendent pas. A part ça, Dassault fils est anti-étatiste, anti fonctionnaire, anti service public. Il est aussi incompétent dans la vente et ami du président de l'arépublique. Dans n’importe quelle entreprise de France, un tel incompétent aurait été licencié depuis très longtemps.


La campagne présidentielle de 2012 se prépare bien chez le candidat parvenu à l’Elysée en 2007.

Christian Vanneste est-il fasciste ?


Nous voyons de plus en plus telle ou telle personnalité politique traitée de fasciste. Certes, le nom que nous citons n’est à nos yeux pas très fréquentable. Son rapprochement avec Marine le Pen, est assez révélateur d’une ligne politique de la droite dure, laquelle a trouvé une caisse de résonnance à défaut de raisonnance dans l’UMP.
Mais nous ne sommes pas de ceux qui utilisons à tort et à travers la qualification de faciste telle que le pratique ad nauseum blogs, sites et réseaux sociaux sur la toile ou, plus largement dans tous les medias, quant bien même leur démarche peut paraître louable ; de prime abord seulement.
Nous ne l’utilisons pas parce que nous pensons que la future présidente du front national est plus proche d’une idéologie rétrograde incarnée par le régime de Vichy et non pas par le IIIème reich.
Nous ne l’utilisons pas car à force de galvauder les mots, les utilisateurs de l’extrême édulcorent les faits qu’ont vécus nos ainés. Il ne peut, en réalité se cacher de fasciste derrière chaque individu avec lequel surgit un désaccord politique.
Nous ne l’utilisons pas au nom du débat politique qui en république, doit être porté en haut des tribunes et argumenté, comme nous le faisons ici. Christian Vanneste est élu de la nation, par le peuple et seul le peuple, comme cela s’est vu en 1997, peut le renvoyer dans ses foyers. Afin de mettre nos paroles en actes, nous sommes prêts à tout débat avec le député du Nord. Quand il veut !
En conclusion, il est paradoxal que ceux qui combattent l’idéologie dominante supportée par des médias stipendiés et des thuriféraires du pouvoir en place, agissent avec la même eau, dans leurs écrits et paroles que ceux qu’ils sont sensés combattre.

 

En clair, messieurs et mesdames, quelle signification a la république pour vous ?
 
Bonaparte


Il y a 215 ans, le jeune général Bonaparte sauvait la république en lavant la rue Neuve-St Roch du sang des ci-devants royalistes, instaurant ainsi le directoire. Pendant ce temps, le Directoire, ordre sous lesquels il était, poursuivait la chasse implacable aux jacobins, grâce à son bras armé, les muscadins (an III à an V de la république).

Légion d’honneur.


Le même Bonaparte devenu Napoléon créa la légion d’honneur. De tout temps, nous avons pu voir ici et là, telle ou telle personne décorée, sortant du cadre ordinaire des récipiendaires de l’illustre médaille et prêtant à commentaires et sourires entendus.
Avec l’actuel occupant de l’Elysée, nous assistons à un défilé de remises de décorations où l’incongru prêterait à s’esclaffer, s’il n’était révélateur de l’état de déliquescence du régime. A titre d’exemple, le cuisinier du susdit a reçu la rosette, non pas pour service rendu à la nation, en inventant un nouveau saucisson, ou de quoi nourrir tous les affamés de la terre, grâce à un programme nouveau pour la FAO, mais pour avoir en toute modestie, inventé une soupe au goût de Nicolas Fouquet’s.


Comme quoi l’expression « aller à la soupe » est de circonstance.


Fécondation, Ratzinger met la FIV à l'index.


C'est bien la preuve qu'il est du dernier ridicule de raconter des foutaise et de déambuler une éprouvette au doigt.


Religion toujours, mais à Limoges.


Il y a quinze jours, un musulman fanatique, armé d’un mégaphone, a harangué le public, terrorisé la population, et appelé ouvertement à la guerre civile et au jihad. Il a hurlé son non-respect du code pénal, et confirmé sa seule obéissance au Coran.


Question : que fait la justice vis-à-vis de cet individu ?



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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 08:01

Georges Charpak né le 1er août 1924 dans le village de Dąbrowica en Pologne, aujourd'hui Doubrovytsia en Ukraine est décédé la nuit du 29 septembre 2010 à Paris, est un physicien français lauréat du prix Nobel de physique de 1992.


Sa famille émigre en France alors qu'il a sept ans.


Durant la Seconde Guerre mondiale, dès 1941, il entre dans la Résistance. En 1943 il est arrêté et interné au centre de détention d’Eysses avant d'être déporté au camp de concentration de Dachau en Allemagne ; il y reste pendant un an, sa pratique de plusieurs langues contribuant selon lui à sa survie.


Il devient citoyen français en 1946. (source wikipedia).


Nous rendons hommage à un homme de science. Nous voulons rendre hommage à un homme de la raison, auteur d'un livre jubilatoire " Devenez sorciers, devenez savants" Editions Odile Jacob 2002. Dans cet ouvrage, cet homme des Lumières écrase l'infâme à sa manière et donne une grande leçon d'humanisme aux religieux et vendeurs de rêves et poudres à perlimpinpin de tout poil.


A l'heure où tu rejoins le néant éternel, nous pensons à toi Citoyen.

Salut et Fraternité

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