Cité du Vatican, New-York, Strasbourg, Bruxelles. Ce planisphère des litanies des atteintes à la dignité humaine n’a qu’un seul responsable: le candidat parvenu à l’Elysée en 2007.
Prenons en premier lieu le sujet qui met notre pays sous les spots géographiques, les Roms. Si nous sommes favorables et nous allons l’expliquer ici, pour une politique ferme de l’entrée dans notre pays de ressortissants étrangers, c’est que nous sommes cohérents avec nous-mêmes et qui a été aussi à l’origine de l’existence de Voltaire République, à savoir pour une Europe des nations, dans un environnement de coopération internationale reposant sur les peuples et non sur la marchandisation des êtres humains, telle que la pratiquent notamment les groupes industriels et financiers de la « mondialisation heureuse ».
Notre cohérence a été poussée à nous intégrer dans la réalisation d’un vrai projet alternatif à cette Europe des mous du genou.
Ce postulat étant avancé, nous ne pouvons tolérer le traitement de l’indignité humaine du gouvernement actuellement en direction d’une population ciblée, triée selon les sexes et les âges, avant expulsion.
Venons-en aux cris d’orfraie des divers acteurs de cette situation et à tout « saigneur » tout honneur, le président de l’arépublique. Souvenons-nous.
Souvenons-nous de ses allégeances dès le début de son bail précaire à l’Elysée : allégeance à Ratzinger et sa laïcité « ouverte » où, entre autre, le curé (voire l’imam) valent mieux que l’instituteur. Le petit voyageur vaticanesque, transformé en Charles X ultramontain, voit la facture arriver : une condamnation sans appel de Ratzinger du haut de son perchoir romain. Comptable : le président de l’arépublique.
Souvenons-nous de l’invitation bédouine du président libyen, des circonvolutions et pas de deux du candidat parvenu à l’Elysée. Résultat, sous les gesticulations onusiennes, à la commission des droits de l’homme, occupée en majorité par des pays où ceux-ci et notamment le droit des femmes, sont mis au rang des caniveaux. Comptable : le président de l’arépublique.
Souvenons-nous de Strasbourg comme nous nous souvenons du vase de Soissons. Quel spectacle affligeant de voir sur les images télévisées, des députés supra nationaux brandir des affichettes contre leur propre pays, la France tel Daniel Cohn-Bendit, le vert de gris ou les guignolades de Sylvie Guillaume, la si peu eurodéputée (sic) socialiste. Il va s'en dire que le député socialiste roumain qui se permet de fustiger la France ferait mieux de s'occuper du sort dramatique des Rom dans son propre pays. Ceci éviterait peut-être cela. Vous avez dit Tartufe?
Mais le premier responsable est celui qui organisa en France, le coup d’Etat en ratifiant en février 2009 le traité de Lisbonne. C’est bien ce traité qui autorise la libre circulation des Roms dans la communauté. Alors nous ne pouvons que considérer comme une simple tartuferie, les étranglements médiatiques du ministricule aux relations européennes, Pierre Lelouche. Comptable : le président de l’arépublique.
Bruxelles : Madame le commissaire droit de l’hommiste, Vivian Redding, s’il vous plait, fermez là ! Que cela vous plaise ou non, que cela plaise ou non aux fédérastes supra nationaux, la France est en voie de retrouver sa souveraineté. Le peuple de France a su châtier l’arrogance du duc de Brunswick en 1792. Il saura bien châtier la nouvelle duchesse du Luxembourg.