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Colloque Franco-allemand de Lyon

Le 7 octobre 2011, s'est tenu à l'IEP de Lyon, un colloque franco-allemand sur le thème:

 

Visions comparées de l'euro

 

Les videos de ce colloque sont disponibles sur

 


www.cercledu29mai2005.eu

 

 

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Eclats Républicains

Si vous le souhaitez, vous pouvez recevoir le livre "Eclats Républicains" de Simon Archipenko, Président de Voltaire République. Le  livre est paru en septembre 2007. La réception est gratuite. Si vous souhaitez contribuer à l'effort envoyez un don au siège de l'Association . Voltaire République - 73, cours Richard Vitton 69003 LYON. Pour recevoir le livre envoyez un courriel à: voltaire.republique@laposte.net

Présentation

Citoyen !

VOLTAIRE REPUBLIQUE  est un mouvement qui veut défendre et promouvoir les idées républicaines issues du siècle des Lumières et dont l’un des principaux penseurs fût Voltaire. En qualité de mouvement laïque et républicain, l’association se fait un devoir de répandre sa pensée dans toutes les sphères de la vie politique, économique et sociale de la France et dans une Europe débarrassée de son idéologie libérale dont les citoyens français ont rejeté les bases lors du scrutin du 29 mai 2005. L’association ne s’interdit aucune action et aucun prosélytisme dans le monde.

VOLTAIRE REPUBLIQUE  est fondée par des républicains engagés dans la vie de la Cité, venus d’horizons divers, patriotes qui veulent pour la France une république digne de son histoire et de celle qu’ils veulent léguer aux générations futures.
Article II des statuts de l’association   
VOLTAIRE REPUBLIQUE  est une association où, seul le nom de Citoyen compte. Elle rejette toute idée de communautarisme, sous quelque forme que ce soit.
Tous les adhérents, sans distinction y sont honorés pour leur travail voué au bien public, et tourné vers la République.
Voltaire république ne se revendique pas en parti politique; elle est politique. A ce titre ses adhérents sont libres d’appartenir ou de ne pas appartenir à un parti . Aussi, elle accueille en son sein les citoyens venus de tous horizons démocratiques et républicains, sans exclusive d’appartenance.
L’association n’importe pas en son sein les clivages et les pratiques qui y sont attachés. Le citoyen qui n’accepte pas ces principes fondateurs de Voltaire République et des Jeunes Voltairiens n’ont pas leur place au sein de l’association.
Voltaire République est engagée dans la vie de la Cité.  Elle invite les citoyens à en être les acteurs dans les associations, les organisations syndicales étudiantes, de salariés, patronales, artisanales et familiales.
Voltaire République et les Jeunes Voltairiens sont organisés dans leur ville, leur département, leur facultés, leurs entreprises et, sur le plan national.

Salut et fraternité

Voltaire République et les Jeunes Voltairiens


Nous contacter :
voltaire.republique@laposte.net

Articles RÉCents

Du bon usage des commentaires

Nous laissons les commentaires libres sous réserve de minimum de correction. De même, les liens donnés par nos lecteurs, s'ils n'intègrent pas le notre sur leur blog ou site seront détruits.

Enfin, en guise de commentaires, nous ne retenons que les personnels; les copier-coller d'autres appréciations ne nous intéressent pas.

21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 17:29
Une des amies de Voltaire République, Christine TASIN, avec laquelle notre association entretien de nombreux liens notamment au travers de nos blogs respectifs, vient de recevoir des menaces de mort suite à un article publié sur son blog, article relatif aux dernières manifestations des islamos-gauchistes en France quant aux événements de Gaza. Même si l'on peut penser que ces menaces peuvent être attribuées à un doux dingue, nous ne pouvons rester sans réaction face à l'inacceptable, comme il est inacceptable de voir lors des défilés les appels à la haine et à la mort.
Nous publions in extenso l'article de Christine TASIN. Nous invitons également nos amis blogueurs à se rendre sur le blog de Christine et à lui apporter votre soutien.





Vive la République, Vive la France des Lumières.






 Menaces de mort

Chers amis lecteurs, un certain nombre d'entre vous ont lu avec effarement le premier commentaire (tous ceux qu'il a laissés aujour'hui sur mon blog, d'ailleurs, sont édifiants...)  de Ezzedine EL Kassem sur mon billet d'hier ; ce commentaire se terminant par une menace de mort.

Merci à tous ceux qui sont intervenus sur le blog ou par courriel pour me dire et leur soutien et que je ne pouvais pas laisser passer ça.

Telle n'est pas, effectivement, mon intention. D'abord, afin de nous éviter une prose  puant la haine, les commentaires de ce blog seront dorénavant modérés.

Ensuite, je viens de porter plainte pour menace de mort et je continuerai de dire ce que je pense sur ce blog et ailleurs, sans censure. Je ne me laisserai pas intimider par tous ceux qui veulent supprimer la liberté de pensée, la liberté d'expression et mettre en cause les valeurs républicaines et l'universalisme des Lumières.

Non, messieurs les censeurs, non messieurs les assassins, nous ne nous tairons pas.

Je ne salue pas, au passage, tous ceux qui, à gauche comme à droite, dans les associations prétendument "droitdel'hommistes" largement subventionnées ou dans des officines payées par le contribuable comme La Halde, par leur attitude et leurs encouragements, ont fait en sorte que cela soit possible. Tous ceux qui, depuis des années, par opportunisme politique, par idéologie libertaire et revancharde ont donné droit de cité aux islamistes. Tous ceux qui, lorsqu'un  Redeker ou un Sifaoui ont reçu des menaces leur ont mis la tête sous l'eau au lieu de se solidariser avec eux, se réjouissant presque qu'ils soient obligés de vivre cachés au motif que "ce serait bien fait pour eux". Leur crime ? Dire que certains versets du Coran ne sont pas compatibles avec la loi française et la Déclaration des droits de l'homme (et de la femme !!!). Honte à vous, qui ne vous êtes pas mobilisés pour imposer le silence aux fauteurs de haine qui les obligent à vivre cachés.

Enfin, qu'attendons-nous, tous, la majorité silencieuse, nous qui pouvons écrire, parler, agir, nous qui pourrions, quand nous sommes un certain nombre dans la rue ou dans une manifestation, dire non aux slogans communautaristes ou haineux ? Nous sommes encore les plus nombreux, nous devons, en toute solidarité, ne plus nous laisser marcher sur les pieds. Nous devons imposer aux polititiques la prise en compte de nos exigences. Nous sommes en France, nous avons un passé, une histoire, des révolutions, ne trahissons pas tous ceux qui nous ont précédés et qui ont permis de faire de notre pays une nation symbole de la liberté.
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E
Pierre André Taguief pyromane de la haineAccuser les autres se ses propres péchés est une vieille tactique. C’est ce que fait le chercheur au CNRS, M. Pierre André Taguieff dans son livre « Prêcheurs de haine : Traversée de la judéophobie planétaire » <br /> Si l’on suit son raisonnement, tout un chacun peut, aujourd’hui, demain, se voir abusivement soupçonné de « haïr les juifs », se voir accusé de « judéophobie » pour avoir porté un regard critique sur Israël ! D’autres vont le répéter. Et le tour est joué. Ce mot lâché, plus moyen de se laver de la souillure.<br /> A l’appui de citations tronquées, accompagnées de commentaires perfides, Taguieff n’a pas de mots assez méchants pour transformer les personnes épinglées, en épouvantails repoussants. <br /> Dans les milles pages de son essai, pages toutes remplies de notes plus assassines les unes que les autres, Taguieff s’en prend tout particulièrement à des personnalités publiques qui se sont fermement opposées, ces dernières années, aux guerres anti-Arabes, anti-islam. Personnalités, donc, qui ont élevé la voix, pour condamner les violations, par Israël et les Etats-Unis, de la loi internationale et humanitaire qui protége les civils dans les zones occupées. Personnalités tout ce qu’il y a d’humainement et moralement respectables mais considérées par Taguieff - qui lui défend effrontément les violeurs du droit - comme faisant partie de ce « noyaux durs de judéophobes » qui véhiculerait « une pensée unique » teintée « d’israélophobie, d’américanophobie, d’islamo-gauchisme ».<br /> Taguieff cherche à répandre l’idée que les « ennemis des juifs » reviennent en force. Qu’ils sont partout. A droite comme à gauche, comme dans les mouvements anti-guerre. Qu’ils sont passés de « l’antisémitisme à l’antisionisme ». Qu’il y a parmi les « antisionistes légitimes » des « antisionistes absolus, qui sont aussi redoutables que les vieux antisémites ». Et ceux là il faut les bannir.<br /> Or, tout ce charabia ne tient pas la route. Même si Taguieff a troqué le terme « d’antisémitisme » contre celui de « judéophobie », même si les médias lui donnent toujours un vaste écho et si les politiciens peu courageux se couchent par pure couardise, il y a peu de chance que sa démonstration, soit prise au sérieux par le grand public. Les gens ne sont plus aussi dupes !<br /> Si l’exploitation de l’« antisémitisme » a assez bien fonctionné jusqu’ici, il ne fait plus toujours recette aujourd’hui. D’autant qu’il y a eu, en 2004, toute une série de révélations qui ont permis à la police d’établir que des actes attribués trop hâtivement à « l’antisémitisme galopant » étaient, en vérité, des actes fabriqués de toute pièce par ceux-là mêmes qui hurlaient à la « persécution des juifs », fomentés par des pompiers pyromanes étroitement liés aux organisations juives.<br /> Pourquoi des personnes de confession juive se livrent-elles à ce genre de provocations ? Il faut savoir qu’Israël a toujours compté sur l’arrivée de nouvelles vagues d’immigrants juifs pour préserver un équilibre démographique face aux Palestiniens. Et comme les Français sont de moins en moins tentés d’aller s’établir en Israël, il faut leur donner, de-ci de-là, un coup de pouce en leur faisant très peur pour les pousser à émigrer en Israël. Cela permet du même coup de justifier l’injustifiable. D’accréditer l’idée que les colons juifs qui vont s’installer demain sur des terres volées aux Palestiniens sont la conséquence directe, donc excusable, des « persécutions » dont ils seraient toujours victimes en France. <br /> Aujourd’hui, tout le monde est censé savoir que, ces dernières années, alors que des organisations comme le CRIF ameutaient toute la classe politique française autour de « l’antisémitisme », Israël perpétrait en Palestine les pires crimes de guerre de son histoire. Toutes ces campagnes qui agitaient le spectre de « l’antisémitisme » étaient idéologiques. Elles servaient des objectifs politiques. Et elles allaient toujours en s’amplifiant au moment où Israël se livrait à des opérations sanglantes contre les Palestiniens. Il s’agissait de faire diversion. Ainsi, pendant qu’Israël massacrait les Arabes sans être dérangé, les inconditionnels d’Israël dans le monde faisaient tout un tintamarre, autour de faux actes « antisémites ». Il y a des chiffres qui démontrent que, durant ces années, il y a eu plus de cimetières chrétiens et musulmans profanés que de cimetières juifs.<br /> Voilà pourquoi, depuis qu’Israël a durci sa politique répressive en Palestine, il ne s’est pas passé une semaine, sans que le journaliste-philosophe M. Alain Finkielkraut ou le président du Conseil Représentatif des Instituions Juives de France (CRIF), de l'époque M. Roger Cukierman, ne montent au créneau pour nous marteler que « les juifs » étaient en danger en France et de pointer du doigt « les banlieues ». Ce qui revient à introduire l’idée qu’ils veulent faire passer : que les Arabes sont la première menace, et que l’Islam est l’ennemi du monde chrétien.<br /> Tout cela est parfaitement cynique. Mais pour tous ceux qui calquent leur manière de voir sur celle d’Israël, c’est de bonne guerre. Ainsi, à force de diaboliser les « banlieues », subrepticement, la petite écolière couverte d’un foulard deviendra, aux yeux des Français qui se sont insensiblement pénétrés de ce « discours de haine » pernicieux, aussi dangereuse que le Palestinien en rébellion contre l’occupant israélien. Qui versera une larme quand les avions iront bombarder ces « fanatiques », en Palestine et en Irak ?<br /> Combien de temps la France va-t-elle encore supporter sans réagir que des provocateurs et des manipulateurs à la solde d’Israël, qui se sentent finalement plus israéliens que français, continuent de fomenter des troubles pour diviser les citoyens ?<br /> Israël, quoi qu’il fasse, peut toujours compter sur des alliés qui le soutiennent et reprennent sa propagande. Propagande qui consiste à faire des amalgames entre un « terroriste » et un résistant, entre l’islam et le réseau Al-Qaida, à associer tout musulman qui fait sa prière à la mosquée et toute femme qui porte le foulard à des « extrémistes », à des « fanatiques », à des « terroristes ». Taguieff n’est pas le plus actif d’entre ces inconditionnels qui nous désinforment quotidiennement. Il n’est que le plus petit maillon d’une chaîne de « maître de discours » qui occupent tout le champ médiatique, qui pèsent sur la politique en France et participent de ce processus de déshumanisation de l’Arabe, de l’Islam, qui conforte les intérêts d’Israël. Processus qui va toujours de pair avec le lynchage de ceux qui osent contrecarrer leurs mensonges et appeler à plus d’humanité envers nos frères arabes.<br /> Quand Taguieff accuse des personnes qu’il ne connaît pas, de « judéophobie », de « révisionnisme », de « négationnisme », il se révèle être lui-même un prêcheur de haine magistral. Haine de ceux qui défendent des valeurs de justice et qu’il piétine allégrement. Haine de ces « féministes et alter mondialistes » qui défendent le droit des femmes musulmanes à porter le foulard et donnent la parole à Tariq Ramadan. Haine de ceux qui ne partagent pas sa haine de l’Arabe et de l’Islam.<br /> Combien de personnalités respectables n’ont-elles pas déjà été salies, par le passé, par ce genre de simplifications ? Marguerite Yourcenar - pour ne citer que l’une des plus célèbres d’entre elles - a énormément souffert d’avoir été abusivement soupçonnée « d’antisémitisme ».<br /> Il suffit de se rapporter aux récentes campagnes médiatiques contre Tariq Ramadan pour mesurer l’ampleur de la haine anti-musulmane. En quelque mois les médias ont fait de cet intellectuel musulman, un personnage douteux, dangereux, infréquentable.<br /> En réalité, les « prêcheurs de haine » ne sont pas là où Taguieff, à l’instar d’André Glucksman, veut bien nous le faire croire. Son propre « discours de haine » vise à faire taire les défenseurs du droit international qui critiquent Israël et les Etats-Unis, et à durcir les lois qui permettraient de les bâillonner.<br /> La diabolisation des Arabes et de la religion musulmane par les va-t-en guerres et les idéologues du choc des civilisations, favorise les intérêts d’Israël, pas ceux de la France. Ce sont donc eux, les Arabes et les musulmans, les principales victimes de racisme en France. C’est d’eux que Taguieff aurait dû se préoccuper en priorité. Or, pour Taguieff, si la déshumanisation des Arabes est naturellement admise, la critique de la politique raciste de l’Etat d’Israël n’est pas acceptable.<br /> Vous l’avez compris, ce qui scandalise Taguieff ce ne sont pas les victimes innocentes des guerres criminelles de Sharon et Bush, ni les actions douteuses en France de certaines organisations juives qui cherchent à diviser les citoyens ; ce qui le scandalise ce sont uniquement les forces politiques qui refusent l’inacceptable : l’occupation militaire israélienne en Palestine, l’occupation américaine en Irak, et toutes les souffrances qu’elles génèrent.<br /> Apporter son soutien à un Etat qui nie le droit d’exister aux Palestiniens, ce n’est pas une position défendable. Qu’importe ! Il s’agit pour les Taguieff de donner un coup de main à Israël au moment où, malgré tous les efforts déployés au dehors par ses défenseurs pour tenter de sauver son statut de victime éternelle et pour l’embellir, son image de « pays civilisé et démocratique » s’effrite. On ne peut pas tromper le monde indéfiniment. Donner à l’antisémitisme - ou à la « judéophobie » - une ampleur qu’il n’a pas, fait l’affaire d’Israël ; cela ne fait pas l’affaire de la France.<br /> Nous devons refuser cette grille de lecture tendancieuse et régressive. Nous devons lutter contre ces campagnes mensongères qui visent à nous faire voir le monde arabo-musulman comme l’ennemi de l’Occident.<br /> Taguieff se vante d’« avoir fait un livre sérieux, à visées nobles et culturellement savantes » ! Dans son passage sur les ondes de France culture il est apparu comme un homme médiocre, suffisant, présomptueux, imbus de lui-même et parfaitement cynique. Voici quelques extraits de ses réponses aux questions posées par deux journalistes manifestement sceptiques. <br /> Vous avez fait un « massacre de personnalités (...), il n’y a plus grand monde qui trouve grâce à vos yeux, c’est un peu abusif » ! « Je reconnais que mes portraits sont des gifles (...) Nous sommes dans un univers manichéen (...) il y a deux pôles ; entre l’antisionisme légitime et l’antisionisme absolu (le dénigrement systématique d’Israël) il y a une zone d’ambiguïté (...) il y a beaucoup de pacifistes et d’intellectuels français qui sont à la frontière de ce que j’appelle la judéophobie ».<br /> Qui sont les judéophobes ? « La LCR, les trotskistes anglais, les alter mondialistes, les pacifistes qui font copinage entre Ramadan, les féministes et les alter mondialistes (...) Je m’intéresse aux dérives antijuives du pacifisme radical »<br /> Mais vous vous alignez sur les positions des Sharon et Bush. Vous allez avoir une partie de l’opinion française choquée ! Est-ce à dire que, dans la position anti-guerre française, il y a des traces de judéophobie ? « La stratégie des néo-conservateurs visait le remodelage du Proche-Orient. J’étais d’accord avec eux. La France en 2003 a montré un étrange unanimisme (contre la guerre en Irak) ».<br /> Les Etats-Unis peuvent bombarder où ils veulent ? « Ils doivent jouer le jeu (...) Sur le pacifisme je fais une lecture comparée avec 36-39, la capitulation devant Hitler ».<br /> Vous avez tendance à ne parler que de pacifisme radical et à mettre dans le même sac ceux qui ont réfléchi (aux enjeux de la guerre) ? « J’ai voulu m’engager à dénoncer les dérives anti-juives et anti-américaines, la théorie du complot juif mondial »<br /> Quand passe-t-on de « l’antisionisme légitime à l’antisionisme absolu » ? « Quand il y a nazification, quand on dit « sionisme égal nazisme » (...) La France a vraiment basculé (dans la judéophobie) avec Sabra et Chatila. Ca n’est pas Sharon qui a tué les Palestiniens. On parle de Tsahal comme d’une armée de soudards, une bande de criminels ».<br /> Tout cela est une invention totale ? « Israël est un pays démocratique (...) »<br /> Vous dites que l’espace médiatique méconnaît les pays Arabes ? « Mon analyse : il y a deux poids deux mesures. Il y a un antisionisme médiatique avec une palestinophilie angélique. Il y a une vision noire dans le traitement d’Israël. Nous sommes dans l’ambigu et les manichéens ne comprennent pas cela. » (Fin)<br /> Mais, là encore, c’est le pompier pyromane. Il n’y a pas plus manichéen que Taguieff. Il y a le camp des justes d’un côté, son camp, et le camp des « pacifistes » de l’autre côté ; camp qu’il soupçonne d’« antisémitisme », d’« antisionisme radical », de « judéophobie ».<br /> D’après vous, chers lecteurs, qui portez la blessure d’un monde déchiré, qui sont les manichéens qui voient tout en noir et blanc et ne sont pas capables de dialoguer ?<br /> silviacattori@yahoo.it<br /> <br /> <br /> Editeur Mille et une nuits, septembre 2004<br /> Parmi quelques centaines de personnalités méchamment mises en cause il y a le rapporteur spécial des Nations Unies, Jean Ziegler, Josè Bovè, Dieudonné M’Bala M’Bala.  Il y a des organisations juives qui soutiennent financièrement la discrimination raciale en Israël, en collectant des fonds qu’elles versent au KKL, le fond National Juif qui jouit d’un statut constitutionnel en Israël et gère une partie importante des terres volées aux Palestiniens. Elles ne sont pas blâmées par M. Roger Cukierman qui représente les organisations juives en France et à ce titre participe au comité interministériel qui se réunit mensuellement pour lutter contre l’antisémitisme. On se demande ce que le gouvernement français attend pour les interdire. Le cas le plus connus, parmi les faux « actes antisémites » est celui d’Alexandre Moïse, dirigeant de la fédération sioniste de France, qui s’adressait des messages anti-juifs. Alors qu’il avait porté plainte pour menaces antijuives il a été reconnu par la police en mai 2004 comme étant lui-même l’auteur de ces menaces. Toutefois 80 % des actes dits antisémites ne sont pas identifiés. Donc il est difficile de dire qui en sont les instigateurs. Si l’usage de l’antisémitisme à des fins politiques prend en France une telle proportion, cela découle du fait qu’il y a dans ce pays le plus grand nombre de citoyens de confession juive après les Etats-Unis et que les organisations sionistes y sont très actives.<br /> Alexandre Adler proche du likoud France est incontestablement le plus efficace leader d’opinion, parmi les journalistes qui en France, cherchent à accréditer l’idée que l’Occident est dans un choc de civilisation vis-à-vis du monde musulman. Et aussi le plus influent défenseur de la politique d’agression militaire d’Israël et des Etats-Unis au Moyen-Orient.  France 2 est la chaîne télévisée qui s’est montrée la plus acharnée à vouloir détruire Tariq Ramadan. Notamment en diffusant le reportage à charge, De Sifaoui, un algérien qui cherche à se faire une place en France en dénigrant ses frères de manière assez pitoyable.  André Glucksman a écrit récemment un livre qui va dans le même sens. « Discours de haine »<br /> Taguieff était interrogé par deux journalistes à France Culture le 27 octobre 2004. Nous avons pris durant l’émission des notes, qui reflètent fidèlement son propos même si nous n’avons pas pu les reprendre mot à mot<br />
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E
Pile et face Islamophobie et JudéophobieL’instant est grave car nous sommes sur le point de revivre les moments les plus noirs de notre Histoire. Depuis les terribles événements du 11 Septembre 2001, la majorité  des intellectuels « publics », sans oublier certains hommes politiques, n’ont eu de cesse de présenter l’islam et les musulmans comme de formidables menaces pour notre société « moderne » et nos valeurs « occidentales ».<br /> Le matraquage a débuté avec des reportages auxquels se sont succédées des interviews, des déclarations et des ouvrages divers mais pas très variés. Le mensonge ne faisant que s’ajouter à la mauvaise foi, à la calomnie et à la manipulation. L’islam et les musulmans auraient tous les torts et toutes les tares : des analphabètes ? des délinquants ? des asociaux ? des rétrogrades ? des misogynes purs et durs ? des antisémites ? des sauvages ? des animaux ?<br /> Ces questions sont souvent posées et malheureusement la réponse, d’ailleurs induite dans la question, systématiquement positive ne tarde pas à tomber venant de la bouche « d’experts » et « d’intellectuels » connaissant le problème, car par définition tout ce qui touche à l’islam et aux musulmans est forcément un problème.<br /> Ces personnes « éclairées » et surtout très médiatisées ont commencé par des critiques fondées sur la politique. Il est vrai qu’il n’y a pas de pays musulmans démocratiques, on devrait donc en déduire que démocratie et islam sont parfaitement incompatibles... Mais est-ce réellement aussi simple ? Est-ce vraiment la religion qu’il faut blâmer et non pas plutôt les Hommes ? Après tout combien de crimes ont été perpétrés au nom du Christ ? Est-ce que cela signifie que le christianisme est mauvais ou du moins contient les germes du mal ? Bien sûr que non !<br /> Ensuite les critiques se sont logiquement concentrées sur les extrémistes musulmans, appelés aussi « fondamentalistes » ou « islamistes » mais surtout « terroristes ». Ces derniers sont plutôt bien médiatisés car ils sont à la tête de certains Etats et surtout comme tous les extrémistes, ils savent se faire entendre. Évidemment tout extrême est à condamner. Mais se pourrait-il que les fondamentalistes lorsqu’ils sont musulmans, et uniquement musulmans ( ? !) soient forcément des terroristes dans l’âme ? Bien sûr que non ! L’extrémisme n’est pas l’apanage d’une culture et encore moins d’une religion. Une fois de plus ce ne sont que les Hommes qui sont en cause. Et si la condamnation doit être ferme, il n’est pas inutile de se poser des questions sur l’origine de tel ou tel extrémisme : l’Histoire nous a en effet montré que la naissance des extrémismes est une résultante politique et économique mais pas seulement culturelle ou religieuse.<br /> Suivant la même logique, ces « experts » expliquent que si extrémisme il y a, c’est que certains passages du Coran non seulement autorisent mais instituent de tels « débordements ». Ainsi faudrait-il évidemment réformer ces versets ! Comme si encore une fois, il fallait décharger l’Homme de sa responsabilité. Or si l’on compare avec les autres religions ou ne serait ce même qu’avec les lois d’un Etat, on ne peut que constater que quoique l’on fasse, il y aura malheureusement toujours des Hommes pour interpréter comme cela les arrange n’importe quel texte aussi bien intentionné soit-il.<br /> L’extraordinaire démonstration de ces « intellectuels » ne pouvait s’arrêter là. Leurs « lectures » et leurs « analyses » du Coran, conjuguées avec « leurs observations minutieuses » tant de la population que de la société musulmane, leur ont permis de découvrir que cette religion comportait des aspects parfaitement incompatibles avec notre société occidentale et nos valeurs judéo-chrétiennes. Rappelons à ce propos que les trois religions monothéistes ont d’après leurs livres saints respectifs exactement les mêmes valeurs qui leurs viennent notamment d’Abraham.<br /> Mais revenons à cette démonstration, l’un des symboles majeurs de cette fameuse analyse n’est autre que « l’affaire du voile ». Formidable découverte que ce « voile » qui existe sous diverses formes (chapeaux, foulards, fichus, etc...) depuis plusieurs siècles, sur tous les continents et notamment dans les pays occidentaux.<br /> Cet objet est donc devenu le révélateur de l’asservissement de la femme dans l’islam. La femme musulmane (ou arabe les experts ne s’encombrant pas de détails) n’est rien si ce n’est une cuisinière et une reproductrice, les « spécialistes de l’islam » sont catégoriques. Bien sûr cette constatation est faite au mépris de ce qui est écrit dans le Coran, qui contrairement à la Bible donne expressément des droits aux femmes et leur donne un rôle important dans la société, sans leur interdire de s’épanouir socialement ou professionnellement. Rappelons à toutes fins utiles pour les théologiens (et les autres) que dans le Coran ce n’est ni Adam et encore moins Eve qui porte la responsabilité de l’expulsion du Paradis. C’est Iblis (le Diable) qui en porte la faute tout entière. Il n’y a donc pas de faute (ni de péché !) originelle dont la femme porterait le poids. De ce fait elle n’a rien à se faire pardonner.<br /> Plus intéressant, notre société serait le dernier bastion de la protection des femmes et de leurs droits. Protection que nous pouvons d’ailleurs aisément apprécier tous les jours à sa juste valeur par l’intermédiaire des multiples publicités vantant les mérites de tel ou tel produit au moyen d’images pour le moins « valorisantes » de la femme. De même en est-il pour l’égalité devant l’embauche et le niveau des salaires. Et l’on ne citera pas les trop nombreux exemples de femmes chefs d’entreprise, maires, députés, sénatrices, ministres, 1er Ministre, Présidente de l’Assemblée Nationale, du Sénat ou du Conseil Constitutionnel et bien sûr Présidente de la République.<br /> Il est d’ailleurs intéressant de remarquer que la longue histoire des démocraties françaises et britanniques a permis à des femmes de devenir premier ministre pour la première fois en 1979 pour Margaret Thatcher et en 1991 pour Edith Cresson. Benazir Buto est devenue chef du gouvernement au Pakistan en 1988 alors que ce pays est loin d’être un exemple de démocratie.<br /> Mais revenons à nos « experts » et à nos « intellectuels » qui se devaient d’aller au bout de leur démonstration. Pour les y aider et surtout leur accorder une caution morale, il était important que des « personnalités », artistes ou hommes politiques, abondent dans leurs sens. Tout comme il était primordial que des musulmans et des Arabes (qui rappelons le ne sont pas forcément musulmans) interviennent en confirmant les critiques faites à l’islam. Et c’est ainsi qu’il n’est plus possible de parler de musulmans sans toujours mettre en opposition les modérés et les autres, les fameux « fondamentalistes ».<br /> Ces « spécialistes » et ces « experts » de l’islam ont défini pour nous ce que doit être un musulman modéré. Il doit tout bonnement ne pas être pratiquant et donc pas dérangeant. Le musulman modéré ne peut être que laïc. Tout juste peut-il se dire suivre l’islam et ne pas manger de porc, mais s’il en vient à lire le Coran, à prier et à se rendre à la mosquée, alors nous sommes obligatoirement confrontés à un islamiste et donc à un terroriste en puissance.<br /> On ne nous laisse aucun autre choix : après tout, les « spécialistes » se sont prononcés. C’est ainsi qu’un (ou une) musulman (e) se prononçant en faveur du voile est de facto catalogué comme fanatique et donc comme un fondamentaliste. Il n’est évidemment pas concevable pour nos « intellectuels bien pensant » que l’on puisse soutenir le port du voile pour d’autres raisons. Tout comme en son temps, il était impossible à l’église de croire que ce qu’affirmait Galilée puisse être recevable.<br /> Le raisonnement et la démonstration opérés par nos « experts » et « intellectuels » peuvent enfin arriver à leur terme, et ce sans la moindre surprise. Tout avait débuté par une critique de cas particuliers, mais leur étude a permis de constater « l’horrible vérité ». Ce ne sont pas des cas isolés bien au contraire. L’islam serait une religion qui porte en elle une menace pour les autres religions et pour toute société moderne. Là où chez les juifs et les Chrétiens les extrémistes sont minoritaires, chez les musulmans ils sont par nature, « et sans le moindre doute possible », la majorité.<br /> Avec de tels raisonnements, il est devenu des plus naturel de voir publier, avec pour ainsi dire peu ou pas de critique, des ouvrages comme ceux de notre BB nationale ou d’Oriana Fallaci. Tout comme il est devenu commun d’associer les mots « délinquants », « terroristes » et « antisémites » aux mots « musulmans » et « arabes ». Les propos tenus par différentes personnalités comme Claude Imbert nous montrent bien la marge de manœuvre que s’octroient aujourd’hui les islamophobes. Hier, il n’était pas politiquement correct de se voir associer au terme « islamophobe » (raciste et xénophobe), même si les idées soutenues le justifiaient pleinement. Et aujourd’hui ces mêmes individus revendiquent haut et fort leur islamophobie sous l’extraordinaire prétexte de ne pas céder au politiquement correct et de s’exprimer librement.<br /> Nous devons ici ouvrir une petite parenthèse car plusieurs questions nous viennent à l’esprit. Pourquoi tant décrier LePen ? Pourquoi les propos de LePen soulèvent-ils un tel tollé là où les propos d’Oriana Fallaci et de Claude Imbert sont ignorés, voir acceptés, ou timidement critiqués ? Ce ne serait pas les mots qui comptent mais les personnes qui les emploient ? Tout cela manque manifestement de transparence et d’honnêteté intellectuelle.<br /> À moins que l’islamophobie ne soit pas (ou plus) condamnable et punissable au même titre que la judéophobie, appelée également anti-sémitisme ? Ce ne serait donc même plus une forme plus ou moins mineure de racisme et de xénophobie ? Michel Houellebecq et Claude Imbert ne seraient que des martyrs, des pionniers de la liberté d’expression et des briseurs de tabous ?<br /> Évidemment, une religion et une communauté ne sauraient être stigmatisées à l’extrême, sans que cela ne soit fait dans un but inavouable, du moins publiquement. Quelles sont donc les motivations des islamophobes ? Quels sont leurs buts ? Ne généralisons pas comme ils le font de manière fort fâcheuse et simpliste avec les musulmans (et les arabes). Ce sont des gens qui agissent aussi bien en leur nom propre qu’au nom d’une communauté d’individus. Les motivations peuvent être tant politiques que sociales qu’économiques que religieuses. C’est ainsi que la raison se mêle à la passion tout comme la profonde réflexion au réflexe épidermique. En revanche la logique et l’honnêteté ne sont pas toujours présentes.<br /> Soyons juste, tous les intellectuels, tous les journalistes et tous les hommes politique ne participent pas à ce lynchage médiatique. Il y en a une grande majorité qui ne font rien si ce n’est observer et parfois manifester une légère réprobation. Il faut les comprendre, ils ne peuvent pas être de tous les combats. Il y a des causes plus ou moins intéressantes notamment d’un point de vue médiatique. Et défendre l’islam et les droits des musulmans n’est pas une chose forcément aisée ou « intéressante ». Après tout, ce n’est pas une religion comme les autres, elle nous est étrangère à nous occidentaux. Elle appartient aux peuples des états du Tiers Monde.<br /> Il est bien connu des théologiens et des historiens que contrairement à l’islam, les religions juives et chrétiennes sont apparues et se sont développées avant tout dans les pays d’occident. N’est-ce pas dans la Bible que l’on apprend que les prophètes Abraham, Moïse et Jésus (pour ne citer qu’eux) sont nées et ont vécu sur le continent européen...<br /> Dans l’histoire récente de l’humanité, il y a une autre religion qui dû subir toutes sortes d’abus. Elle avait elle aussi tous les torts et toutes les tares. Cette religion n’était pas non plus compatible avec les valeurs de la société laïque ou chrétienne. Les membres de cette communauté supportèrent donc les diffamations, les insultes et les violences tant verbales que physiques avant d’en arriver à la discrimination organisée et aux massacres de masse. Il s’agissait de la religion pratiquée par le peuple juif
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E
Mon cher Voltaire,Toutes cette énumération lourde et fastitieuse, pour enfoncer une porte ouverte lol bien sur que l'Islam est une vie de Sabre et de verbe proclamé je ne jamais dit que l'on était des bisounours.Le Saint Coran - Sourate 2 - Versets 154 -155 -156 Et ne dites pas de ceux qui sont tués dans le sentier d'Allah qu'ils sont morts. Au contraire ils sont vivants, mais vous en êtes inconscients. - très certainement, Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants, - qui disent, quand un malheur les atteint : "Certes nous sommes à Allah, et c'est à Lui que nous retourneronsALLAHOU AKBAR
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E
Voltaire et 1789, pour votre éclaircissement«Une réconciliation volontaire avec les Arabes est hors de question, que soit maintenant ou dans le futur. Si vous souhaitez coloniser un pays dans lequel une population vit déjà, vous devez fournir une armée pour le pays ou trouver quelque riche personne ou bienfaiteur qui vous en fournirait. Sinon, abandonnez la colonisation, parce que sans une force armée, qui rendrait physiquement impossible toute tentative de détruire ou d'empêcher cette colonisation, la colonisation sera impossible, pas difficile, pas dangereuse, mais IMPOSSIBLE. Le Sionisme est une aventure de colonisation et c'est pour cela qu'elle est dépendante d'une force armée»«La colonisation sioniste doit être exécutée contre la volonté de la population autochtone. C'est pourquoi cette colonisation doit continuer seulement sous la protection d'une puissance indépendante de la population locale, tel un mur d'acier capable de résister à la pression de la population locale. Ceci est notre politique à l'égard des Arabes»Vladimir Jabotinsky, fondateur du courant révisionniste le plus réactionnaire dit Révisionnisme sioniste (précurseur du Likoud), The Iron Wall, 1923
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V
<br /> Puisqu'on parle d'éclaicissemnt:<br /> <br /> 618 : massacre des ennemis à la bataille de Bu’ath<br /> 622 : Mahomet reçoit le verset : « tuez les infidèles où vous les trouverez, faites les prisonniers... »<br /> 622 : Sad fils d’Abou Waqqash lance la première flèche tirée par un musulman<br /> 623 : combat de Nakhla ; premières morts violentes ; quatre bédouins tués par huit musulmans<br /> 623c : Mahomet aurait construit une mosquée à Médine ou coupant des arbres et en exhumant les sépultures d’infidèles<br /> 623c : meurtre d’Amrou ben Al Hadhrami chef de caravane, contre l’avis de Mahomet : premier tué notable par les musulmans<br /> 623c : avis de Mahomet : « ce sont des infidèles, envers lesquels il n’y a pas lieu d’observer une interdiction sacrée »<br /> 624 : bataille de Badr ; première victoire sur les infidèles<br /> 624 : razzia sur la Mecque, pillage et prise de captifs<br /> 624 : après la victoire de Badr, début de l’élimination des juifs<br /> 624 : décapitation du poète Kab been Al Ashraf à Médine, opposant à Mahomet<br /> 624 : bataille de Badr : Mahomet à oqba : « je fais à Dieu le voeux que si je te saisis en dehors de la Mecque, je te ferai couper la tête ».<br /> 624 : bataille de Badr ; Abou Bakr à Mahomet : « l’infidélité sera exterminée dans le monde ».<br /> 624 : bataille de Badr ; défaite des infidèles : « les musulmans les tuèrent à coup de sabres et firent des prisonniers »<br /> 624 : bataille de Badr ; Mahomet à ses hommes : « quiconque d’entre vous rencontrera Djahl, tranchez lui la tête et apportez la moi ».<br /> 624 : révélation de Mahomet : « il n’a pas été donné à un prophète d’avoir des prisonniers, sans faire de grands massacres sur la terre ».<br /> 624 : décapitation de Kab ben Asraf, poête critique<br /> 624 : décapitation de deux poêtes anonymes après la bataille de Badr<br /> 624 : après la bataille de Badr, Mahomet à oqba : « ta place et celle de tes enfants est en enfer. s’ils ne deviennent pas croyants, je les ferai tuer... »<br /> 624c : décapitation du poète Abu Afak en Arabie pour avoir critiqué l’islam<br /> 624c : exécution d’Asma Bint Marwan femme ayant critiqué Mahomet<br /> 625 : expulsion du clan juif des Al Nadir<br /> 625 : destruction de l’idole Oubal<br /> 626 : massacre des juifs Beni Khazradj et partage des familles et du butin<br /> 626 ? : expédition contre les juifs beni Qoraizha, insultés par Mahomet : « O vous, singes et cochons... »<br /> 626 ? : massacre des 700 juifs Beni Qoraïzha, liés pendant trois jours, puis égorgés au dessus d’un fossé, avec les jeunes garçons<br /> 626c : meurtre du juif Kab chef des Beni nadhir poête satiriste, et de sa femme qui s’était moqué de Mahomet<br /> 626c : expédition contre les juifs de Kaihbar<br /> 626c : meurtre sur ordre de Mahomet du juif Sallam abou rafi<br /> 626c : tentative de meurtre d’Abou Sofyan ordonné par Mahomet<br /> 626c : Mahomet fait couper les palmiers de l’oasis des juifs Beni Nadhir<br /> 626c : Mahomet prend parmi les Beni Qoraizha une jeune fille très belle comme par du butin<br /> 627 : élimination du clan juif des Qurayza à Médine<br /> 627 : massacre des juifs de Médine ; partage des familles et des biens<br /> 627 : début de la politique d’agression systématique des autres tribus<br /> 627 : agression de la tribu des Bani Moustalik<br /> 628 : attaque par Mahomet de l’oasis de Khaybar<br /> 628 : caravane d’infidèles pillée par Mahomet<br /> 628 : Mahomet aux juifs beni Qainoqa : « si vous n’embrassez par l’islam, je vous déclare la guerre »<br /> 628 ? : rapt des femmes et enfants de la tribu des Moshjarik<br /> 628 ? : attaque des juifs de Khaïbar, et torture des prisonniers<br /> 628 ? : prise de l’oasis juive de Fadak comme bien personnel de Mahomet<br /> 628c : soumission des juifs de Wadil Qora<br /> 629 : destruction des idoles d’Allat, Manat et Al Uzza en Arabie<br /> 630 : prise de la Mecque ; 30 exécutions<br /> 630 : première agression contre la Perse à Tabuk<br /> 630 : bataille de Honaïn contre les Bédouins païens<br /> 630 : soumission des juifs et chrétiens de Makna, Eilat, Jarba<br /> 630 : décapitation à la Mecque de Abdallah ibn Abou Sahr apostat<br /> 630 : décapitation à la Mecque de Abdallah ibn Khatal poête satiriste<br /> 630 : décapitation à la Mecque de Howairith ibn Noqaïd<br /> 630 : condamnation à mort à la Mecque de Ikrima, en fuite<br /> 630 : condamnation à la Mecque de Cafwan ibn Ommayya, en fuite<br /> 630 : condamnation à mort la Mecque de Hind femme d’Abou Sofyan, en fuite<br /> 630 : exécution à la Mecque de Sara, esclave affranchie<br /> 630 : exécution à la Mecque de Qariba, chanteuse<br /> 630 : exécution à la Mecque de Fartana, chanteuse qui s’était moquée de Mahomet<br /> 630 : destruction de l’idole d’Hubal située dans la Kaaba<br /> 630 : Mahomet à son ennemi Cafwan : « tu n’as qu’à chosir entre le sabre et l’islam »<br /> 630 : massacre de la tribu des beni Djadsimaa<br /> 630 : arrachage des vignes en Arabie<br /> 630 : destruction de 360 idoles à la Mecque<br /> 630 : prise de Taif par les musulmans<br /> 630 : bataille de Houynan contre les tribus hawazites<br /> 630c : destruction de l’idole d’Al Uzza dans le temple de batn nakhla<br /> 630c : destruction du sanctuaire de Manah par Ali sur les ordres de Mahomet<br /> 630c : destruction du sanctuaire d’AlFals, idole des Tayyi, par Ali sur les ordres de Mahomet<br /> 630c : destruction de l’idole d’Allat par Ibn Suba sur les ordres de Mahomet<br /> 630c : destruction de l’idole Al Uzza dans la vallée de Nahla<br /> 630c : meurtre de Dubayya prêtre d’Al Uzza<br /> 630c : destruction du démon femelle Al Uzza par Halid « femme noire dévêtue »<br /> 630c : destruction de l’idole d’Isaf<br /> 630c : destruction de l’idole de Naila<br /> 630c : destruction de l’idole de Ruda par Al Mustawgir<br /> 630c : destruction de l’idole Du Al Halasa, du temple ; 200 morts dans l’attaque<br /> 630c : incendie de l’idole Dul Kafayn, dieu des Daws<br /> 630c : destruction de l’idole Dus Sara des Banu Al Harit<br /> 630c : destruction de l’idole Al Uqaysir<br /> 630c : destruction de l’idole A’im des Azd as Sarah<br /> 630c : destruction de l’idole Su’ayr des Anaza<br /> 630c : destruction de l’idole Umyanis des hawlan<br /> 630c : destruction de l’idole Wadd dieu des Qura par Ibn Al Walid<br /> 630c : destruction de l’idole Suwa à Ruhat<br /> 630c : destruction de l’idole Yagut au Yémen, dieu des Madhig<br /> 630c : destruction de l’idole Yauq dieu des Hamdan<br /> 630c : destruction de l’idole nasr dieu des Himyarites sur ordre de Mahomet<br /> 630c : destruction de l’idole Ad Daggal<br /> 630c : destruction de l’idole Al fals des Tayyi et sacrilèges<br /> 630c : destruction de l’idole<br /> 631 : attaque de la ville byzantine de Tabouk<br /> 631c : soumission de Tabouk ; tribut pour les chrétiens<br /> 631c : attaque contre le chrétien Adi et rapt de sa soeur<br /> 631c : destruction par Mahomet de l’idole des Beni Tay<br /> 631c : interdiction du pélerinage de la Mecque pour les infidèles<br /> 631c : pour les Mecquois : « ceux qui restent : qu’ils deviennent musulmans, sinon, que le sabre ou la guerre décident »<br /> 631c : apostasie de la tribu des Abdul Qaïs, chrétiens à l’origine ; soumission ou élimination<br /> 631c : soumission des chrétiens de Nadjran<br /> 632 : hérésie d’Al Asuad au Yémen<br /> 632 : traité de soumission de la tribu chrétienne des Taghlibites<br /> 632 : traité de soumission de la tribu chrétienne du Nadjran<br /> 632 : soumission d’Al Aswad chef yéménite apostat<br /> 632 : à sa mort, le pacifique et tolérant Mahomet possède 7 sabres, 3 lances, 3 cuirasses, un bouclier<br /> 632 : appel au meutre de Tolaïha, comme faux prophète<br /> 632 : appel au meurtre de Aswad, magicien au yémen<br /> 632 : à la mort de Mahomet, colère d’Omar : « que la langue de ceux qui disent qu’il est mort soit arrachée »<br /> 632c : décompte par Al Tabari de 62 expéditions guerrières pour Mahomet<br /> <br /> <br />
N
Ne pas mettre sur le même plan judéophobie et islamophobie comme le fait Sarko !. Lui le fait pour insidieusement dénaturer les fondements philosophiques humanistes de la Laïcité.<br /> La judéophobie est raciste puisqu’elle rejette les juifs, l’islamophobie est la lutte contre une religion : l’Islam, comparable en cela à l’anticléricalisme relatif aux dogmes romains ou à  toute autre attitude philosophique qui s'oppose aux prétentions religieuses et au révisionnisme religieux visant à occulter les crimes commis au cours des siècles notamment en Occident par ces divers monothéismes à facettes et à dissimuler les incitations aux crimes et aux discriminations figurant dans les textes fondant ces différents cultes .<br /> Si Faurisson a été condamné pour ses prises de positions négationnistes et révisionnistes sur le nazisme , personne n’a encore osé porter devant les tribunaux la bible, les évangiles et le coran pour incitation au meurtre et à la discrimination.<br /> Mais Hitler a été battu, alors, vae victis, par contre, les églises rayonnent toujours la lumière de leurs bûchers !<br /> PS<br /> parmi les ouvrages mis à l’Index par l’eglise romaine, on trouve Freud, Spinoza (qui est toujours "herem" pour les israélites) le grand dictionnaire de Larousse, etc... mais pas du tout "mein kampf", sans que personne ne s’émeuve haut et fort de cette "lacune" qui prend une toute autre résonance en ces temps de canonisation d’un Pie 12 bien muet en son temps en ce qui concerne les exactions nazies !
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