10 juillet 2008
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On pouvait jusqu'à présent se poser la question de savoir si la France était encore un pays ou un simple canton helvétique. Nous avons depuis deux jours la réponse. Elle vient de l'ambassadeur de Chine en France lequel sommes notre pays de ne pas recevoir le dalaï lama.
En préalable, nous devons rappeler que le dalaï lama est un responsable religieux ex autocrate d'un pays où le servage existait encore en 1949. Celui-ci n'est pas le sujet de ce texte.
Les propos de l'ambassadeur de Chine sont inacceptables au regard de notre souveraineté nationale et condamnables à tous égards. Cependant, le contexte peut se comprendre. Les velléités, la procrastination du président de l'Arépublique en sont la principale raison. Celui-ci, éternel candidat aux élections présidentielles, joue petits bras et moulinets et fait ridiculise la France avec ses "on y va on y va pas". Ces actes sont un fait de servilité, encouragé par l'ex premier ministre Jean Pierre Raffarin; la Chine qui ne comprend que les rapports de force, elle aurait tort de s'en priver, s'est engouffrée dans cette faille (l'ambassadeur n'a pas tenu de tels propos sans le feu vert des autorités de Pékin).
De servilité en renoncements, de renoncements en renoncements, le président de l’Arépublique détricote la France.
En préalable, nous devons rappeler que le dalaï lama est un responsable religieux ex autocrate d'un pays où le servage existait encore en 1949. Celui-ci n'est pas le sujet de ce texte.
Les propos de l'ambassadeur de Chine sont inacceptables au regard de notre souveraineté nationale et condamnables à tous égards. Cependant, le contexte peut se comprendre. Les velléités, la procrastination du président de l'Arépublique en sont la principale raison. Celui-ci, éternel candidat aux élections présidentielles, joue petits bras et moulinets et fait ridiculise la France avec ses "on y va on y va pas". Ces actes sont un fait de servilité, encouragé par l'ex premier ministre Jean Pierre Raffarin; la Chine qui ne comprend que les rapports de force, elle aurait tort de s'en priver, s'est engouffrée dans cette faille (l'ambassadeur n'a pas tenu de tels propos sans le feu vert des autorités de Pékin).
De servilité en renoncements, de renoncements en renoncements, le président de l’Arépublique détricote la France.